Te kokuu : arbre (sapindus saponaria) dont les graines noires sont utilisées dans la confection des colliers.

Te komaì : les génitoires, le sexe.

Te komako : oiseau (acrocephalus mendanae), rousserole des Marquises.

Te komanā : titre local donné à l'administrateur de la subdivision d'état des Îles Marquises en souvenir du titre de "Commandant particulier" porté en premier par le commandant Collet en 1842.

Te komaù : abri; parapluie.

Mot base : pli, ride ; plissé, ridé, froissé.

E komo : se coaguler.

Te komotu : le tison.

Mot base : ivre, ivresse.

Mélodieux

Te koniù : la nervure de feuille de cocotier.

Te kooamua : le préfixe.

Te kooamuì : le suffixe.

Te kooi : le tronc du corps humain.

Te kooka : plat circulaire à popoi.

Te kooūa : le vieillard, le vieil homme ; de nos jours, le grand-père.

Être paralysé.

Te kopake : l'alliance ; les alliés.

Te kopana : la puce(insecte).

Te kope : la morve ; hakate pū i te kope : se moucher.

Te kopeka : oiseau (aerodramus ocistus), le martinet-salangane des Marquises.

Te kōpū : le ventre ; enveloppe de certains fruits en grappes.

Enveloppe violette du régime de bananier ; la couleur violet.

Te koraihe : la fenêtre ; du français : une croisée.

E korero : (Ùa Pou) être défait, dénoué, détaché; publier, être publié (livre).