Debout ! Levez-vous ! Réveillez votre courage et reprenez la terre qu’on vous a volée ! C’est le message de cette chanson militante.
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Les mots entre parenthèses viennent éclairer le lecteur sur la structure grammaticale de la phrase que l’artiste-poète a jugé bon construire à sa guise.
A TŪ !
| E to ù ati ènana, E aha ta òe haaavaiìa mai ? To òe noa iho vaimata. x2 
 E too (i) to òe henua (i) to òe kuhane, (i) to òe hōupo. 
 No òe tēnei henua ! E, e. A hakavaa (i) to òe toa nui à ! E, e. 
 E aha ta òe haaavaiìa mai ? To òe noa iho vaimata. x2 
 Vāvāhi (i) ta òe haa tupuna, Ta òe ia e ùmihi nei (i) tēnei â. 
 No òe tēnei henua ! E, e. A hakavaa (i) to òe toa nuiìa ! E, e x 4 E, e, e … | Eh ma tribu ancestrale, Que t'ont-ils laissé ? Rien que tes propres larmes. 
 Voler ta terre mère, Ton esprit et ton cœur. 
 Ce pays t’appartient, eh, eh. Allez, réveille le guerrier qui sommeille En toi ! Eh, eh. 
 Que t'ont-ils laissé ? Rien que tes propres larmes. 
 Anéantir tes traditions, Celles qui justement fondent notre Quête de chaque jour. 
 Ce pays t’appartient, eh, eh. Allez, réveille le guerrier qui sommeille En toi ! Eh, eh, eh … | 
