Le site de partage de la langue marquisienne
Te tohua niutavavā hou mea àva atu àva mai i te èo ènana
The new site for sharing the Marquesan language

Vue de la plage Vainaho et du Fort Collet, Taiohae, Nuku Hiva. René Gillotin, 1844.

Certaines images illustrant l’histoire des îles Marquises se retrouvent dans de nombreux ouvrages ; il arrive qu'elles soient accompagnées de légendes différentes, parfois erronées, que seule une enquête approfondie permet de reconsidérer.
Il s’agit ici de traiter de la signification profonde de mots - liens, lier et relier - dont l’usage et la traduction en marquisien posent parfois question.
Un étranger qui veut apprendre le marquisien se trouve souvent confronté à des difficultés lorsqu’il veut appliquer et traduire les concepts ou les structures de sa propre langue.
Le 16 décembre marque l'anniversaire de la mort de Stanislas MOANATINI, décédé en 1893.
Il s’agit de mots-bases dont la valeur est augmentée par un autre adverbe que «oko» (très, trop).
À Ua Pou, en décembre 2019, le thème du 12ème «Matavaa o te Henua ènana» était «Te haatumu āpuu i to tātou aoatakuà» ou « Comment la culture peut-elle prendre soin de notre environnement ?»
Estimée à environ 100000 vers 1800, la population des Marquisiens est tombée à 2255 en 1926. L’article suivant expose les diverses évaluations faites jusqu’au premier recensement officiel de 1883 ; un tableau récapitulatif fait état des recensements administratifs jusqu’en 2022.
Jacques Iakopo Pelleau vous propose le relevé des résultats de élections communales depuis 1972 dans un tableau exposant le nom des maires des Marquises élus depuis cette date-là.
Cet article n’a qu’un but : faire état de l’évolution de la graphie de la langue marquisienne au fil des siècles afin d’exposer au public le choix orthographique radical, et largement contesté, opéré par l’Académie marquisienne à partir de sa création en l’an 2000.
De nos jours, nombreux sont les Marquisiens, surtout les plus âgés, qui utilisent le français pour donner leur année de naissance. En effet, ils ont du mal à exprimer en marquisien les nombres supérieurs à cent. Dans cet article, nous essayerons de comprendre comment comptaient les anciens Marquisiens et pourquoi, encore de nos jours, nombreux sont leurs descendants qui répugnent à compter comme leurs ancêtres lorsqu’ils s’aventurent à dépasser la centaine.
Le 15 octobre 2001, un an après sa création, l’Académie marquisienne (Te Haè tuhuka èo ènana) fait le choix d’une graphie liée, inspirée de celle utilisée par les missionnaires catholiques du XIXème siècle, et prônée par le linguiste tahitien Turo Raapoto. Cliquer sur ce lien afin de consulter l'article traitant de la graphie académique mise à jour récemment.
En attendant les résultats des prochaines élections, Jacques Iakopo Pelleau vous propose un récapitulatif des noms des élus marquisiens à l’Assemblée de la Polynésie française.
Il y a quelques jours seulement, un de mes abonnés me demandait si la circoncision était une tradition marquisienne ou si cette pratique avait été imposée par les missionnaires catholiques. Je lui ai répondu en lui faisant parvenir les notes suivantes prises au long de mes lectures et que je vous présente après remise en bonne forme
Pendant des années, nombreux sont ceux qui se sont posé la question de la véritable appellation de la baie voisine de Taiohaè nommée habituellement Haaotupa en marquisien.
À l’approche de la Fête de la Sainte Trinité, il est intéressant de se pencher sur le trio de tête des anciens dieux marquisiens dont l’oiseau-totem n’était pas une colombe.
Pour les Catholiques marquisiens, c’est le vendredi 28 juillet 1595 que l’Évangile fut lu pour la première fois sur le sol de la Terre des Hommes ; c’était en espagnol, à Vaitahu, île de Tahuata.
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